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Les histoires d’amour ne font pas exception Ă  cette rĂšgle. Leur commencement est simplement plus difficile Ă  identifier. On ne se rĂ©veille pas un matin en se disant aujourd’hui, l’histoire d’amour commence. ». On ne peut pas identifier avec exactitude non plus le moment prĂ©cis ou la teneur de nos sentiments pour une personne est devenue amoureuse. Je ne fais pas non plus exception. Je tiens d’ailleurs Ă  vous prĂ©venir tout de suite ni moi, ni cette histoires ne somment exceptionnels. À quel moment l’amour est-il entrĂ© dans ma vie? À quel moment son visage a-t-il commencĂ© Ă  envahir mes pensĂ©es? Elle Ă©tait omniprĂ©sente en tout moment. Aujourd’hui encore, je n’ai qu’à fermer les yeux pour que son image m’envahisse. Parfois, je crois la voir dans la rue. Toutefois le mieux reste de la voir en vrai, de la voir sourire, rire, resplendir. Dans ce moments-lĂ , un sentiment indescriptible qui pourrait ressembler Ă  de la joie m’envahit. Dans ces moments-lĂ , le monde alentour n’existe plus. Je me sens comme sur un petit nuage. Mais je suis presque immĂ©diatement ramenĂ© Ă  terre par la dure rĂ©alitĂ©, qui la plupart du temps s’incarne par mes amis, qui, Ă©tonnĂ©s que je ne rĂ©ponde plus, m’interpellent et attirent mon attention. Je m’arrache alors Ă  ma contemplation, et je reprends la conversation comme si de rien Ă©tait. Toutefois, je ne peux m’empĂȘcher de jeter de temps en temps de petits coups d’oeils dans sa direction. Ce qui me fait mal, c’est quand je la vois triste. Elle est toujours souriante mais parfois, ses yeux semblent crier son dĂ©sespoir. Ses yeux qui sont incapables de mentir et de faire comme si tout va bien. Dans ces moments-lĂ , je voudrais tellement la prendre dans mes bras, la rassurer, lui dire que tout va bien aller, que je suis lĂ , qu’elle peut se confier Ă  moi, que je ne me moquerais pas. Et, quand elle se dĂ©nigre – ce qu’elle fait trĂšs et trop souvent, malheureusement – j’ai envie de lui crier Ă  quel point elle est belle, Ă  quel point elle est exceptionnelle. Toutefois, j’ai beau parler fort, faire le con devant mes amis, tenir tĂȘte aux profs, ĂȘtre bon en sport, faire de la boxe, face Ă  elle – si frĂȘle que ses coups semblent ĂȘtre des caresses – je dois me retenir pour ne pas bĂ©gayer et j’ai du mal Ă  rester calme et naturel. Rien que de dire des mots aussi banals que bonjour ou comment ça va, c’est un exploit. MĂȘme en zappant le comment. Cette torture qu’est d’ĂȘtre amoureux dure pour moi depuis trĂšs longtemps, mais je sais que ça durera plus longtemps encore. Je me sentirai capable de rester Ă  ses cĂŽtĂ©s toute ma vie. C’est trĂšs diffĂ©rents des petits crushs » que j’ai eu auparavant. Je me souviens encore de quand, au tout dĂ©but, je l’agaçais, je me moquais un peu d’elle, pour rire, et en croyant qu’ainsi personne ne se rendrait compte de rien. La voir s’énerver et me frapper sans aucune force ou rĂ©el Ă©nervement me faisait sourire – ce qui l’énervait encore plus. Elle est encore plus mignonne quand elle s’énerve et le fait qu’elle me touche, mĂȘme si c’était pour me frapper, me rendait stupidement – l’amour rend stupide – heureux. Mais le mieux dans tout ça, c’était d’entendre mon nom dans sa bouche. Il semblait alors tellement plus beau, tellement moins banal. MĂȘme si elle le disait avec agacement. Alors, malgrĂ© ses mais arrĂȘte Alex! », j’ai continuĂ©. Puis, aprĂšs de trop courts mois de quasi-bonheur pour moi, une fille de ma classe est allĂ©e lui dire Si Alex te demandait de sortir avec lui, tu ferrais quoi? ». Elle a rĂ©pondu Jamais, il m’énerve trop! ». J’ai donc dĂ©cidĂ© de changer de tactique, trop gĂȘnĂ© par la perspective que toute l’école s’en soit rendu compte et – surtout – triste de savoir qu’elle ne m’aimait pas. Je me raccrochais tout de mĂȘme Ă  l’espoir qu’elle avait dissimulĂ© ses sentiments, ce qui serrait tout Ă  fait son genre. Cet espoir peut sembler bien stupide et infondĂ©, mais quand on est amoureux – ce qui vous est ne mentez pas! sĂ»rement dĂ©jĂ  arrivĂ© – on est non seulement stupide, mais on ne peut s’empĂȘcher d’espĂ©rer – ne serait-ce qu’un peu – que notre sentiment est partagĂ©. C’est Ă  ce moment-lĂ  Ă  peu prĂšs que sont arrivĂ©s les examens de fin d’annĂ©e. J’avais donc une parfaite excuse pour ne plus venir l’agacer sans que ça confirme les rumeurs. Puis, ce furent les vacances d’étĂ©. Deux longs – extrĂȘmement longs – mois pour mon pauvre cƓur amoureux, qui ne rĂ©clamait que son sourire, que son image, et qui obtenait deux mois sans elle. Auparavant, les vacances passaient trop vite Ă  mon goĂ»t, je n’avais pas le temps de m’ennuyer et je voyais approcher la rentrĂ©e avec amertume. Mais cette fois-ci, mes journĂ©es furent remplies d’ennui, je passai mon temps Ă  regarder les heures s’égrainer lentement. Quant Ă  mes nuits, n’en parlons mĂȘme pas. Des cauchemars des plus rĂ©alistes - de ceux qui vous rĂ©veillent en sursaut - y avaient Ă©lu domicile. Celui qui revenait le plus souvent Ă©tait celui-ci je me promenais quand je la voyais dans un parc, assise seule sur un banc. Le sourire aux lĂšvres, je la rejoignais, on parlait un peu. J’étais heureux. Soudain, un gars qui devait avoir 15 ou 16 ans, blond aux yeux bleus, grand et trĂšs viril – en quelque sorte mon contraire – arrivait avec deux glaces. Je le regardais d’un air sarcastique mais clair qui signifiait Trop tard mon vieux, elle est Ă  moi, pas touche. Fallait y aller plus vite. ». Mais il me renvoyait mon regard. Ce qui me rendait perplexe. Puis, elle l’apercevait, se levait, allait vers lui et
 l’embrassait. J’en restais scotchĂ© au banc et il n’y avait plus la moindre de trace de sourire sur mon visage. Et cet imbĂ©cile qui me regardait avec son petit sourire narquois et triomphant! J’avais juste envie de le tuer, ce salopard. Mais elle n’aime pas la violence. Je ne veux pas lui faire peur. Je ne veux pas qu’elle me rejette. Je restais donc lĂ , impuissant. Elle semblait soudain se souvenir de ma prĂ©sence et daignait relĂącher son Ă©treinte pour me le prĂ©senter, pendant que je tentais de cacher ma dĂ©ception Alex, voici Lucas, mon copain. Lucas, voici Alex, un gars de ma classe qui m’énerve trop. ». À ce moment-lĂ , je me rĂ©veillais en sursaut. Je me demandais bien pourquoi, mais le nom de ce gars me disait quelque chose. C’est alors que je me suis souvenu d’une conversation que j’avais entendu en art au dĂ©but de l’annĂ©e derniĂšre, oĂč elle parlait d’un certain Lucas avec excitation et
 amour. C’était donc ça. Il ne me restait qu’à espĂ©rer que ce n’était plus d’actualitĂ©. Quand on aime sans connaĂźtre les sentiments de l’autre, l’espoir est une des rares choses qui nous restent dans notre solitude. Mais moi, il me dĂ©laissait peu Ă  peu. Je me rappelais son jamais » catĂ©gorique et puis mon rĂȘve aussi. Et quand mĂȘme l’espoir nous dĂ©laisse, il ne reste plus rien Ă  quoi se raccrocher. Et soudain, un sentiment jusqu’alors inconnu vous submerge vous n’avez plus la moindre raison d’exister. Plus la moindre raison de vous lever chaque matin. Certains, alors, abandonnent et dĂ©cident que la vie ne vaut pas le coup. D’autres se trouvent une raison de vivre. Je n’ai pas considĂ©rĂ© sĂ©rieusement la premiĂšre option pendant plus de 5 secondes, puis j’ai optĂ© – sans regret – pour la deuxiĂšme. Pendant plusieurs jours, je me suis cherchĂ© avec acharnement une raison de vivre. Et, j’ai trouvĂ©. Tout simplement, elle. Je sais ce que vous allez penser mais, tu viens de dire que tu avais perdu ta raison de vivre et tu as repris exactement la mĂȘme! Vous n’avez pas totalement tort
 mais pas totalement raison non plus. Ce que vous n’avez pas compris c’est que mon ancienne raison de vivre c’était d’ĂȘtre aimĂ© par elle. Maintenant c’était devenu juste elle. Je n’espĂ©rais plus la tenir un jour dans mes bras. Je voulais juste sentir sa prĂ©sence, la voir sourire, entendre sa voix. Et les vacances me parurent encore plus longues. J’attendais la rentrĂ©e avec impatience, ce qui, venant de moi, Ă©tait vraiment anormal. Et puis, vers la fin des vacances. j’ai reçu un mail
 d’elle. Mon cƓur a dĂ©gringolĂ© dans ma poitrine. Elle y disait qu’elle avait quelque chose Ă  me dire, qu’elle essayerait d’ĂȘtre sur MSN souvent entre telle date et telle date. Et moi qui trouve pourtant qu’MSN est une pure perte de temps, je me suis surpris Ă  me connecter un peu, juste comme ça, juste pour voir, mais elle n’y Ă©tais pas. Et puis, un jour, elle Ă©tait lĂ . Dans les 5 secondes qui ont suivi, elle m’a dit salut. Un Ă©clair d’espoir m’a traversĂ© le corps. Pour faire comme si de rien Ă©tais, j’ai dĂ©cidĂ© de prendre mon temps pour rĂ©pondre. J’avais peur qu’elle s’en aille. AprĂšs cinq ou sept longues minutes dont j’ai comptĂ© les secondes, je n’y tenais plus, j’ai rĂ©pondu. Toutefois, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai fait semblant de ne pas savoir qui elle Ă©tait. Je suppose que j’avais encore peur que tout le monde le sache. Depuis l’incident il m’énerve trop », je n’osais plus lui parler rĂ©ellement. Ensuite, s’ensuivit un court Ă©change. Mais, elle ne parlait pas de ce mail
 Étrange. Peut-ĂȘtre avais-je tout mal interprĂ©tĂ©, tout mal comprit. Je lui demandais si elle avait hĂąte Ă  l’école. Elle me rĂ©pondit immĂ©diatement que non, pas du tout, qui avait hĂąte Ă  l’école? SĂ»rement n’avait elle vraiment pas hĂąte de me voir. Elle prĂ©fĂ©rait manger des glaces dans les parcs avec son Lucas. À cette idĂ©e, je partis d’MSN, sans mĂȘme dire au revoir. Je ne me suis pas reconnectĂ© pendant 3 jours. DĂ©vastĂ©, je ne sortais que quand ma mĂšre, Candice ou Marie m’y obligeait. Ha mais, j’ai failli oublier Candice et Marie sont nos colloques. Elles ont chacune une fille. Ça fait tellement longtemps qu’on vit ensemble qu’on forme en quelque sorte une famille. Une famille Ă©trange, j’en conviens, mais une famille tout de mĂȘme. Pour en revenir Ă  l’histoire, aprĂšs 3 jours, je n’ai pas pu m’empĂȘcher d’aller y jeter un Ɠil. Que voulez-vous, quand il s’agit d’elle, j’ai une volontĂ© de marshmallow. Quoi que, en mĂȘme temps, je me sentirais capable de rivaliser avec superman. C’est Ă©trange comme la gĂȘne et l’hĂ©roĂŻsme sont liĂ©s en amour, non? Autant c’est parfois limite si vous ne bĂ©gayez pas, autant vous parlez soudain plus fort quand elle passe Ă  cĂŽtĂ©. L’amour dĂ©fie toute logique, n’en dĂ©plaise Ă  tous ce psychologues, ces neurologues et tous les autres logues » qui tentent de l’expliquer. Donc, je me suis connectĂ© Ă  nouveau. Miracle, elle y Ă©tait encore. Et – re-miracle! – elle m’a encore dit salut dans un dĂ©lai de moins d’une minute. Une chance qu’elle ne pouvait pas voir, Ă  ce moment, mon sourire un peu idiot – qui dit idiot dit amoureux – car elle aurait alors su dans l’instant mes rĂ©els sentiments envers elle. La conversation fut nettement plus animĂ©e que l’autre fois, j’avais remballĂ© mon orgueil, je rĂ©pondais assez rapidement et je relançais parfois la discussion. Puis, j’ai dĂ» partir, mais cette fois-ci, je lui dis au revoir - et mĂȘme Ă  bientĂŽt, ce qui m’avait vraiment demandĂ© de prendre sur moi. Je crois bien que j’étais heureux. Si je l’avais rencontrĂ©e dans la rue pendant cette journĂ©e, j’aurais couru vers elle – au ralenti, comme dans les films – et je lui aurais criĂ© tout mon amour. Mais je ne l’ai pas rencontrĂ©e dans la rue ce jour-lĂ . J’ai plutĂŽt croisĂ© quelqu'un qui me fit redescendre brusquement de mon nuage. Et cette personne n’était autre que celle qui avait demandĂ© Ă  Valentine qu’est-ce qu’elle ferrait si je lui demandais de sortir avec moi. Elle avait dĂ©jĂ  brisĂ© toutes mes illusions une fois – Ă  l’époque, j’avais l’impression qu’elle rougissait quand je l’appelais ma chouette ou que je lui caressait l’épaule – et elle le fit une fois encore. Quand elle m’aperçu, elle s’approcha et me demanda - Alors Alex, comme ça va? Elle ne te manques pas trop? Tu sais de toute façon tu n’as aucune chance avec elle, tu ferrais mieux de l’accepter et de trouver quelqu’un d’autre
- Je vois pas de quoi tu parles, Zineb, rĂ©torquais-je en grommelant. - Nous savons tous les deux que tu mens trĂšs mal. Je ne suis pas dupe!- Qu’est-ce que tu veux Ă  la fin! M’énervais-je- Je ne veux que t’ cette Ă©poque, j’étais encore naĂŻf et je croyais encore que les gens agissent parfois sans aucun intĂ©rĂȘt personnel, sans espĂ©rer en tirer quoi que ce soit. Sauf peut-ĂȘtre faire le bien. Je la crus donc. Toutefois, je ne voulais pas lui parler plus longtemps, elle me tapait sĂ©rieusement sur les nerfs, je partis donc – je ne voulais pas entendre un mot de plus. Elle m’avait assez dĂ©sespĂ©rĂ© comme ça. Depuis, je ne rĂ©pondis plus jamais Ă  Valentine sur MSN, mĂȘme si – Ă  mon grand Ă©tonnement – elle continuait Ă  me saluer dans un temps record. Elle devait s’ennuyer ou avoir fait un pari avec ses amies. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce une mise en scĂšne de Zineb pour se foutre de ma gueule. Je n’avais plus aucun espoir, j’étais au plus bas. Heureusement, c’était presque la rentrĂ©e, ça ne dura pas trĂšs longtemps. Mais je crois bien que ce furent les jours les plus noirs et dĂ©sespĂ©rants de ma vie. Et puis, un matin, le rĂ©veil sonna. Je n’étais plus habituĂ© Ă  me lever tĂŽt au son d’un rĂ©veil horripilant – je devais avoir une tĂȘte de zombie, j’avais Ă  peine dormi Ă  cause des cauchemars qui me tourmentaient – et le choc fut assez brutal. J’avais trĂšs envie de rester dans mon lit, de ne plus jamais aller Ă  l’école, mais en mĂȘme temps, c’était le seul endroit oĂč j’avais des chances de la croiser. Je me suis donc levĂ© malgrĂ© ma fatigue et ma dĂ©prime. L’étĂ© Ă©tait Ă©dition par ValentaĂŻne. le Jeu 22 Mai - 1513, Ă©ditĂ© 1 fois beth'ModĂ©ratrice * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 1608Âge 29Localisation Sur LM ! ou au QuĂ©bec, mais c'est moins drĂŽleCentres d'intĂ©rĂȘt Graphisme, forums, sorties entre amis, Ă©criture, lecture, musique ...‱ Profil Express ‱Playlist â€č Sidewalks - Story Of The Year â€șHumeur RĂȘveuseThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Jeu 22 Mai - 044 beau dĂ©but d'histoire, j'adore lMais tu le sais dĂ©jĂ  xDConcernant les fautes, t'en fais pas, j'adore corriger pSi je peux te donner un conseil, sĂ©pare ton texte en paragraphes, la structure est alors beaucoup mieux et c'est plus facile pour lire _________________souris, la vie est un fromage l.hakuna matata ! * Audreyy.»ModĂ©ratrice * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 697Âge 28Localisation QuĂ©becCentres d'intĂ©rĂȘt Shopping; Amies; Lecture;‱ Profil Express ‱Playlist Humeur MitigĂ©eThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Lun 26 Mai - 318 JE VEUX LA SUITE -D_________________It’s like forgetting the words to your favorite songYou can’t believe itYou were always singing alongIt was so easy and the words so sweetYou can’t rememberYou try to feel the beat Kamiikaz3Moi, une tĂȘte connue ?Messages 407Âge 26Localisation Centres d'intĂ©rĂȘt ‱ Profil Express ‱Playlist Dot Dot Curve Humeur HeureuseThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Mar 27 Mai - 311 * Audreyy.» a Ă©crit JE VEUX LA SUITE -D * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 1687Âge 28Localisation QuĂ©bec Centres d'intĂ©rĂȘt ce qui m'intĂ©resse... la rĂ©ponse trop claire!‱ Profil Express ‱Playlist Toxic Valentine - All Time LowHumeur PositiveThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Mar 3 Juin - 128 Waaaah il y a foule xDBon, tant pis, voilĂ  quand mĂȘme la suite, suite Ă  la grooosse demande *sbaff*Chapitre 1 J’ai regardĂ© l’heure j’avais intĂ©rĂȘt Ă  me dĂ©pĂȘcher si je ne voulais pas arriver en retard. Et je ne voulais vraiment pas arriver en retard ça signifiait la voir un peu moins longtemps que prĂ©vu. Et j’avais attendu deux mois pour la voir, j’allais donc en profiter un maximum! J’ai donc enfilĂ© mes vĂȘtements en un temps record, je me suis brossĂ© les dents rapidement, j’ai avalĂ© – pour faire plaisir Ă  ma mĂšre – des cĂ©rĂ©ales en moins de temps qu’il faut pour le dire. Puis j’ai couru vers l’autobus, que j’ai failli manquer mais qui – heureusement – m’a attendu. Le ciel Ă©tait d’un bleu parfait, comme si la terre entiĂšre me souhaitait une bonne journĂ©e et une bonne chance. Tout allait bien se passer. J’allais retrouver ma raison de vivre. Rien au monde ne pouvait m’atteindre. J’espĂ©rais juste ĂȘtre dans la mĂȘme classe qu’elle, mais je savais que c’était impossible; nous n’avions pas les mĂȘmes options. Mais l’espoir fait vivre, non? Mon stock de bonheur Ă©tait au plus plein, tout d’un coup, et je me dirigeai vers ma dulcinĂ©e le cƓur lĂ©ger, sans le moindre nuage dans mon ciel d’azur. Je ne pourrais vous raconter l’heure qui a suivi, je les ai passĂ©s Ă  la regarder ou Ă  la chercher du regard. Le reste de mes actions se sont dĂ©roulĂ©es d’elles-mĂȘmes, en mode pilote automatique. L’heure a dĂ©filĂ© Ă  une vitesse incroyable, j’ai reçu mon horaire, parlĂ© un peu avec mes amis, tentĂ© de voir subtilement son horaire – sans succĂšs, je devrais attendre chaque cours pour savoir si elle y Ă©tait – parlĂ© encore un peu avec mes amis, et c’était dĂ©jĂ  fini, je devais me sĂ©parer – encore une fois – d’elle, mais cette fois-ci, ça ne durerais pas deux mois mais seulement quelques heures. Un dĂ©sir Ă©trange a soudain effleurĂ© mon esprit. Je voulais la suivre, juste pour voir oĂč elle irait. C’était stupide, mais savoir oĂč elle habitait m’aurait vraiment rendu heureux. J’aurais eu l’impression que si je le voulais, je pouvais tout simplement aller chez elle et sonner et lui crier ces sentiments qui m’emplissaient le cƓur. Mais si je l’avais fait il n’y aurait pas eu d’histoire Ă  raconter. Et il y en a une, vous ĂȘtes mĂȘme entrain de la lire. Une histoire qui va trĂšs lentement, je l’admets, mais je tenait Ă  rester fidĂšle au fait et tout est allĂ© trĂšs lentement. Si lentement que j’ai perdu confiance Ă  plusieurs reprises – avec raison ou non, je ne le dirais pas immĂ©diatement, je ne voudrais pas vous gĂącher le suspens! – mais je crois que la vie est parfois comme un voyage il faut prendre le temps de l’apprĂ©cier, si on va trop vite on risque de manquer beaucoup de petites choses qui donnent son charme au voyage. Quelle que soit la destination. Trop de gens oublient l’importance de ces petites choses. J’en ai longtemps fait partie, c’est pourquoi beaucoup de ces petits dĂ©tails ont Ă©tĂ© oubliĂ©s. Surtout les plus nĂ©gatifs car notre mĂ©moire est trĂšs sĂ©lective. Quoi qu’il en soit, je vais en revenir Ă  l’histoire et tacher de ne plus en sortir, bien que ce soit tentant. J’étais donc sur le point de la suivre, quand LĂ©o – un de mes trĂšs bons amis – me T’es chez ta mĂšre cette semaine, c’est ça?- Ouais
- On pourrait faire un bout de chemin Ouais, ça serait pendant que je le maudissais intĂ©rieurement, elle a disparu de mon champ de vision. Je suis parti avec LĂ©o et je suis rentrĂ© chez moi, en faisant mon possible pour faire bonne figure et entretenir une conversation avec mon ami. Je crois y avoir plus ou moins rĂ©ussi, car Ă  un moment il me demanda - Ça va Alex? Tu m’écoutes?- Oui, oui, pourquoi?- T’as l’air un peu
 bizarre. Tu dois ĂȘtre Oui, peut-ĂȘtre. Bon, c’est mon arrĂȘt je prends le bus. À demain!- Salut
Comme je le disais, je suis ensuite rentrĂ© chez moi. J’ai continuĂ© Ă  faire comme si de rien Ă©tait en croyant que ça marcherait au moins un peu. J’avais oubliĂ© une chose que tout adolescent qui se respecte a comprit depuis longtemps les mĂšres comprennent tout le temps tout, on ne peut rien leur cacher, ou presque. Elles doivent avoir des scanners qui dĂ©tectent les sentiments Ă  la place des yeux. Ou des dĂ©tecteurs de mensonges dans les oreilles. En tout cas, ça n’a pas manquĂ©, dĂšs que je suis arrivĂ©, ma mĂšre m’a regardĂ© en haussant les sourcils - Alex, ça c’est passĂ© comment la rentrĂ©e?- Bah, normal. C’était la rentrĂ©e Pourtant ce matin,la perspective de cette journĂ©e semblait te mettre de bonne humeur
- Qu’est ce qui te fait dire ça?- Ça se lisait dans tes yeux. Et maintenant dans tes yeux, il y a de l’amertume. Pourquoi?- C’est quoi lĂ , un interrogatoire? Écoute man, je suis juste un peu fatiguĂ©. Ok? Je peux aller dans ma chambre ou bien l’inspecteur a encore des questions?- Alex
 C’est pour la mĂȘme raison que cet Ă©tĂ©?- De quoi cet Ă©tĂ©? Ça allait trĂšs bien cet Ă©tĂ©! Et ça va trĂšs bien maintenant aussi! Maintenant je veux juste ĂȘtre tranquille, c’est trop demander?!Sans attendre de rĂ©ponse, je suis allĂ© dans ma chambre – dont j’ai bruyamment claquĂ© la porte, pour bien montrer mon mĂ©contentement – et je me suis assis sur mon lit. J’avais vraiment envie de me prendre un joint, mais ma mĂšre m’aurait tuĂ©. Et je savais que Valentine n’aurait pas voulu que qui que ce soit – mĂȘme moi, qui l’énervait trop – se drogue Ă  cause d’elle. Elle se serrait sentie coupable. Je ne veux pas qu’elle se sente coupable. Je ne veux que son bonheur. Tant pis si je ne fais pas partie de ce bonheur. J’ai ensuite pensĂ© Ă  mes amis. J’avais beaucoup changĂ© depuis qu’elle occupait mes pensĂ©es. J’étais devenu le genre de gars sentimentaux de certains films et certains livres, dont nous riions autrefois avec les autres. Dont nous disions que ce genre de gars n’existaient pas en vrai. Que jamais au grand jamais nous ne serions comme ça. Qu’est ce qu’ils diraient s’ils savaient que j’en Ă©tais devenu un! Il Ă©tait hors de question que je leur en parle. Personne ne devait savoir mes sentiments, personne ne devait savoir mes faiblesses. MĂȘme si je savais qu’ils comprendraient peut-ĂȘtre, je savais aussi qu’il y avait des chances pour qu’ils ne comprennent pas du tout. Qu’ils se foutent de ma gueule et qu’ils aillent lui dire ce que je ressentais. Puis ce serait elle qui se moquerais de moi. Elle rirait dans les couloirs avec ses amies en me voyant. Non, elle n’était pas comme ça. Elle n’était pas le genre de filles qui rient des autres et de leurs sentiments. Je crois qu’elle se sentirait mal envers moi, dĂ©solĂ©e de ne pas les partager, ces foutus sentiments. Que la situation la mettrait trĂšs mal Ă  l’aise. Qu’elle me proposerait d’ĂȘtre son ami, Ă  dĂ©faut de plus. Je crois mĂȘme qu’elle serrait au moins aussi malheureuse que moi. Malheureuse pour moi. MĂȘme si je l’énerve trop. Depuis le temps que je l’observe, j’ai compris qu’elle avait beaucoup – trop – d’empathie. Un jour, ça lui causera des problĂšmes. Un jour, quelqu’un en abusera. Mais je la protĂ©gerais de mon mieux. Je me vois dĂ©jĂ , dans des annĂ©es, oeuvrant dans l’ombre pour la protĂ©ger. Jusqu’à mon dernier souffle. Ça ferrait une trĂšs bonne piĂšce de théùtre ça. À la fin, quand il va mourir Ă  cause d’un problĂšme de coeur, il l’appelle Ă  son chevet et lui dit Ă  quel point il l’aime, lui raconte comment il l’a protĂ©gĂ© toute sa vie. Alors, elle lui avouerait qu’elle a fait la mĂȘme chose. Qu’il va survivre, car elle va donner son cƓur pour qu’il lui soit greffĂ©. Puis elle part, et il n’arrive pas Ă  la retenir. Puis, un noir et la lumiĂšre se rallume sur lui, assis seul sur un banc dans un parc. Et il dit J’ai survĂ©cu grĂące Ă  elle. Elle a donnĂ© sa vie. Quel idiot j’ai Ă©tĂ©, j’aurais dĂ» lui dire plus vite. Nous aurions alors passĂ© ensemble ces annĂ©es oĂč nous Ă©tions seuls et oĂč nous pensions l’un Ă  l’autre. Je sens son cƓur battre dans ma poitrine, et c’est la seule chose qui me fait continuer. Je vis le reste de ma vie pour nous deux. Ȃa serrait trĂšs beau et trĂšs triste. Les femmes sortiraient en pleurs du théùtre, et les hommes prĂ©tendraient avoir des poussiĂšres dans les yeux, ce qui expliquerait qu’ils soient humides. Mais je n’ai pas le talent nĂ©cessaire en Ă©criture pour pouvoir Ă©crire cette piĂšce. Elle saurait le faire. Ça serait merveilleux. Elle est merveilleuse en français. Les rares textes que j’ai lus d’elles sont magnifiques. Peut-ĂȘtre que mes sentiments ont un lien avec ça. Mais en tout cas elle a des bonnes notes, donc je ne suis pas le seul Ă  penser qu’elle Ă©crit assez bien. Les profs la complimentent souvent et ça la gĂȘne! Elle mets alors sa tĂȘte dans ses mains, elle rougit et se mord la lĂšvre infĂ©rieure. Je crois qu’elle se sent gĂȘnĂ©e d’ĂȘtre meilleure que les autres. Elle se sent mal pour ceux qui ont eu des mauvaises notes. Pas comme la plupart des gens qui se pensent super bon quand ils ont une bonne note et se la ramĂšnent devant tout le monde. Sans aucun tact, ils exhibent leurs rĂ©sultats devant leurs amis qui ont coulĂ©. J’en Ă©tais lĂ  de mes rĂ©flexions quand j’ai entendu frapper Ă  ma porte. Puis, ma mĂšre est entrĂ©e – j’avais oubliĂ© de fermer le verrou, ce qui prouvait mon trouble, je n’oublie jamais d’habitude – et est venue s’asseoir sur le bord de mon lit, comme quand j’étais enfant et que je boudais ou que j’étais triste. Ce qui Ă©tait un peu le cas d’ailleurs, et cette pensĂ©e m’a fait Alex
 tu sais, si ça ne va pas, tu peux m’en Et si ça va bien et que je n’ai pas envie d’en parler?- Si ça va bien
 Évidemment, dans ce cas, il est inutile de parler. Mais je doute sĂ©rieusement que ça aille bien. Sans remettre en question tes talents d’acteur, ça se 
 Donc, tu as dĂ©cidĂ© que j’allais mal. Et j’aurais beau nier, tu ne me croiras Je n’ai rien dĂ©cidĂ© du tout. Je constate que cet Ă©tĂ© tu as eu des pĂ©riodes de quasi-dĂ©pression, suivies de moments d’euphories. Que ce matin, tu Ă©tais d’excellente humeur et que tu reviens déçu. Je constate que tu es sĂ©rieusement Ă©tĂ© surpris par tant de clairvoyance. C’était si Ă©vident que ça? J’ai quand mĂȘme essayĂ© de dissimuler, sans grand succĂšs, je crois - Mais d’oĂč as-tu sorti cette idĂ©e? Moi, amoureux? Moi qui ai Ă©tĂ© surnommĂ© Ice » par mon ancienne blonde parce que je suis froid et sans sentiments? Et puis, de qui je pourrais ĂȘtre amoureux? - Comment je pourrais le savoir? Je ne connais pas bien les filles de ta classe. Mais j’ai des soupçons
 Comment s’appelait cette fille que tu faisais chier l’an dernier?- De qui? J’en ai fait chier tellement, tu sais
 Ha! Oui, elle! Ben voyons. Moi, amoureux
 et de Valentine en plus? Elle n’est tellement pas mon C’est quoi ton genre, alors?- 
 je sais pas. Mais franchement, lĂ  c’est mĂšre se releva et se dirigea vers la porte. Quand elle allait la fermer, elle se retourna et me sourit - Tu as toujours Ă©tĂ© un bien mauvais menteur, elle ferma la porte, avant que j’ai le temps de rĂ©pondre, laissant derriĂšre elle un Alex sonnĂ©. Je me suis alors demandĂ© si tout le monde Ă©tait aussi clairvoyant que les mĂšres et si j’étais vraiment un aussi mauvais menteur. Parce que si oui, j’étais vraiment mais alors vraiment dans la merde. Kamiikaz3Moi, une tĂȘte connue ?Messages 407Âge 26Localisation Centres d'intĂ©rĂȘt ‱ Profil Express ‱Playlist Dot Dot Curve Humeur HeureuseThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Mar 3 Juin - 348 Merveilleuse, ton histoire, j'adooooooore !T'as un talent extra, en plus c'est original que le personnage principal soit un garçon, ça me plait. beth'ModĂ©ratrice * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 1608Âge 29Localisation Sur LM ! ou au QuĂ©bec, mais c'est moins drĂŽleCentres d'intĂ©rĂȘt Graphisme, forums, sorties entre amis, Ă©criture, lecture, musique ...‱ Profil Express ‱Playlist â€č Sidewalks - Story Of The Year â€șHumeur RĂȘveuseThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Mer 4 Juin - 210 Hahaha xDLa suite, la suite !J'adore Ă©normĂ©ment le chapitre un, et moi j'ai la chance de le lire avant tout le monde mdr p_________________souris, la vie est un fromage l.hakuna matata ! * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 1687Âge 28Localisation QuĂ©bec Centres d'intĂ©rĂȘt ce qui m'intĂ©resse... la rĂ©ponse trop claire!‱ Profil Express ‱Playlist Toxic Valentine - All Time LowHumeur PositiveThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Sam 14 Juin - 2133 Y a foule dis-donc *sbaff* bon voici la suite ^^Je me suis alors rappelĂ© de Zineb et de l’incident il m’énerve trop. Je ne devais pas me faire d’illusions j’étais dĂ©jĂ  dans la merde. Il ne me restait qu’à espĂ©rer que l’étĂ© avait fait oubliĂ© tout ça Ă  tout le monde et que personne ne me poserait des questions Ă  ce sujet. Mais sans ĂȘtre pessimiste, je doutais que Zineb ai oubliĂ© et qu’elle me laisse tranquille. Je devais absolument aller la voir. Lui demander de ne pas ressortir cette histoire. Je me doutais bien qu’elle demanderait quelque chose en Ă©change. Mas on verrait bien au moment venu. Je n’avais pas grand chose Ă  perdre et pas mal Ă  gagner. Je suis sorti de ma chambre, j’ai attrapĂ© une veste et enfilĂ© rapidement mes chaussures. J’ai dit Ă  ma mĂšre que je sortais et que, oui, je serais de retour pour le souper. Puis je suis sorti. Le beau ciel bleu c’était un peu couvert et un vent frais me poussait dans le dos, ce qui me donnait l’impression de pouvoir m’envoler si j’étendais les bras. Quelle sensation Ă©trange. Je marchais vite, je ne savais pas si elle resterai encore longtemps lĂ  bas. J’arrivais enfin Ă  destination un parc oĂč elle traĂźnait souvent avec ses amies. Quasiment tout le temps, en fait. Elle y Ă©tait, par chance. Enfin, par chance, c’est beaucoup dire. La chance n’avait vraiment rien Ă  faire ici cette fois lĂ . Quand elle m’a vu, elle a esquissĂ© un petit sourire mesquin et satisfait auquel – imbĂ©cile que j’étais – je n’ai pas prĂȘtĂ© attention. Puis elle s’est dĂ©tachĂ©e du petit groupe de filles jacassantes et moqueuses pour venir vers moi. - Ho, mais c’est Alex qui nous fait l’honneur de sa prĂ©sence
 C’est trop En fait, je ne suis pas venu pour
- Discuter, oui, je m’en doute. Qu’est ce qui me vaut cette visite surprise?- En fait, c’est Ă  propos de
- Attends, laisse-moi deviner. C’est Ă  cause de Valentine, c’est ça?- Oui, mais arrĂȘte de m’interrompre, ostie!- On se calme... Tu n’es pas venu pour m’en parler, je suppose. Tu as quelque chose Ă  me demander, non? Non, ne dit rien. Tu veux que je ne ressorte plus cette histoire. Que je ferme ma grande gueule. Ça ne sera pas gratuit, tu Oui, je sais. Qu’est-ce que tu veux?- Tu dois me promettre que tu vas faire ce que je te dit. Promis, ça n’atteindra pas ta santĂ©. Tu acceptes?- Qu’est ce que tu veux?- Surtout, ne parle pas avec Valentine, c’est comprit? Si je te vois parler avec elle, toute l’école est au courant de tes sentiments pour elle dans la minute qui suit. C’est pour ton bien, je ne voudrais pas que tu te fasses de faux espoirs. - Mouais
 j’ai le droit de parler Ă  qui je Moi Tu es vraiment
- Abominable. Je sais. Mais tu n’es pas particuliĂšrement gentil toi non plus. MarchĂ© conclu?- J’ai pas le choix!- Si. Tu as le choix! Tu peux dĂ©cider que tout le monde - y comprit ta petite chĂ©rie - se foute de ta gueule et rie en te voyant. Ou sinon tu peux dĂ©cider de m’obĂ©ir mais ĂȘtre tranquille et pouvoir la regarder sans Ă©veiller de soupçons
- Ok. C’est d’ Parfait. Oh, et Alex. Oublie-la. C’est inutile de Ta gueule. Ça te regarde suis parti en me demandant si j’avais bien fait d’aller lui parler. Elle n’aurait jamais pensĂ© Ă  ressortir tout ça, si je ne le lui avait pas interdit. Non. Elle y aurait pensĂ© toute seule. Elle n’a vraiment pas besoin de moi pour faire chier le monde. Ce qui m’énerve c’est que je sais bien que ça ne suffira pas pour la faire taire. On ne peut pas compter sur cette fille, ni sur sa parole. Elle va utiliser ça quand elle en aura besoin. Elle va me faire chanter au grĂ© de ses envies. Criss, pourquoi c’est Ă  moi que ça doit arriver? Je marchais en traĂźnant les pieds. Je n’avais pas vraiment envie de rentrer chez moi. Man allait encore lire tout sur mon visage et me bombarder de questions auxquelles je n’ai pas envie de rĂ©pondre. J’avais incroyablement envie de me prendre un buzz pour dĂ©crocher un peu de la rĂ©alitĂ©. Mais je m’étais promis de ne pas prendre de drogue si ce n’était pas avec des amis pour s’amuser un peu. Je ne voulais pas devenir un droguĂ©. Je ne pense pas qu’elle aime les droguĂ©s. DĂ©jĂ  qu’elle me trouve trop Ă©nervant, je ne voudrais pas aggraver mon cas et faire descendre mes chances en dessous de zĂ©ro. DĂ©jĂ  que nos relations sont plutĂŽt froides, je ne voudrais pas qu’elles deviennent glacĂ©es. Je suis donc rentrĂ© – sans me droguer – et j’ai passĂ© la soirĂ©e Ă  Ă©viter le regard de ma mĂšre, qui me fixait Ă©trangement. Sans doute essayait-elle de me scanner le cerveau. Mais, pour le coup, la situation devait ĂȘtre un peu trop compliquĂ©e pour ĂȘtre comprise d’un simple regard, non? Enfin, avec les mĂšres, on ne sait jamais. Vous avez remarquĂ© qu’une mĂšre ne tombe jamais malade, ou en tout cas pas en mĂȘme temps que ses enfants? Elles ne peuvent tout simplement pas tomber malades, on a besoin d’elles. Une mĂšre voit tout aussi. Inutile d’essayer de cacher des choses ou de mentir, elle s’en rendra parfaitement compte. Elles doivent recevoir des supers pouvoirs quand elles tombent enceintes. Parce que dans ma classe, les filles ne sont pas du tout comme ça, elle sont d’une banalitĂ© et d’une crĂ©dulité  Sauf elle bien sĂ»r, mais je ne crois mĂȘme pas qu’il faille le prĂ©ciser. C’est Ă©vident, non? Celle que j’aime n’est pas banale Ă  mes yeux, elle est particuliĂšre. Je suppose que celles qui me semblent sans intĂ©rĂȘt sont spĂ©ciales aux yeux d’un autre, comme elle l’est aux le repas fut fini et je suis allĂ© rapidement dans ma chambre. J’ai pensĂ© Ă  fermer le verrou, cette fois. De toute façon, j’allais trĂšs bien et je n’avais pas envie de parler de Ă  quel point j’allais bien
 Non, vraiment, mĂȘme moi je ne suis pas convaincu par mes mensonges, mais on peut toujours essayer d’y croire un peu. Ça m’aidera Ă  dormir cette nuit. J’ai fermĂ© les yeux un instant et quand je les ai rouverts, Zineb Ă©tait assise sur le bord de mon Alex
 Oublie-la. Sort-la de ta tĂȘte. Parlons-en ensemble. Non, en fait je vais deviner tes pensĂ©es, ça sera plus simple. Rappelle-toi que tu n’as pas le droit de lui parler. Si tu lui parles, tu es fichu, Alex. Mais ne t’inquiĂštes pas, si tu perds toute forme de vie sociale, je resterai avec toi. Tu vois comme je suis gentille? Mais ça ne sera pas gratuit
- ARRÊTE! VA-T’EN!À ce moment, je me suis rĂ©veillĂ© en sursaut. Ces cauchemars Ă©taient vraiment agaçants Ă  la fin. Je voulais une vraie nuit de sommeil, sans rĂȘves. Pouvoir enfin dormir tranquillement, ça serait bien. Malheureusement, trop de choses me prĂ©occupaient pour que je puisse me reposer rĂ©ellement. Ce genre de mauvais rĂȘves me hantĂšrent toute la nuit. Dire que j’avais espĂ©rĂ© ĂȘtre en for me le lendemain! Ce ne fut vraiment pas du tout le cas. Le lendemain, j’étais encore plus fatiguĂ© qu’avant d’aller me coucher. Il faisait toujours beau dehors, mais je n’ai pas vraiment pris le temps de l’apprĂ©cier. J’étais trop dans les vapes pour profiter du beau temps. J’ai du mal Ă  me rappeler comment j’ai fait pour arriver jusqu’à l’école et ce qui s’est passĂ© par la suite
 Tout ce que je savais c’est qu’elle n’était, aprĂšs trois pĂ©riodes, avec moi dans aucune classe. Zineb, par contre, l’était dans beaucoup. En plus, comme il faisait beau, nous mangions dehors, dans le parc, avec mes amis, alors qu’elle mange Ă  la cafĂ©tĂ©ria. Je devrais donc attendre le prĂ©texte de l’hiver pour passer un peu de mon temps de pause Ă  pouvoir la regarder le plus discrĂštement possible. Kamiikaz3Moi, une tĂȘte connue ?Messages 407Âge 26Localisation Centres d'intĂ©rĂȘt ‱ Profil Express ‱Playlist Dot Dot Curve Humeur HeureuseThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Mar 17 Juin - 034 Toujours aussi fan, ce qu'il y a de cool dans cette partie, c'est que c'est un peu plus quĂ©bĂ©cois Ostie, Crisse ... * Audreyy.»ModĂ©ratrice * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 697Âge 28Localisation QuĂ©becCentres d'intĂ©rĂȘt Shopping; Amies; Lecture;‱ Profil Express ‱Playlist Humeur MitigĂ©eThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Mar 17 Juin - 148 YEAHHH ENCOREEEEEE _________________It’s like forgetting the words to your favorite songYou can’t believe itYou were always singing alongIt was so easy and the words so sweetYou can’t rememberYou try to feel the beat beth'ModĂ©ratrice * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 1608Âge 29Localisation Sur LM ! ou au QuĂ©bec, mais c'est moins drĂŽleCentres d'intĂ©rĂȘt Graphisme, forums, sorties entre amis, Ă©criture, lecture, musique ...‱ Profil Express ‱Playlist â€č Sidewalks - Story Of The Year â€șHumeur RĂȘveuseThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Mar 17 Juin - 204 Kamiikaz3 a Ă©crit Toujours aussi fan, ce qu'il y a de cool dans cette partie, c'est que c'est un peu plus quĂ©bĂ©cois Ostie, Crisse ... Oui, je suis entiĂšrement daccord Et puis c'est toujours aussi bon, j'adore l_________________souris, la vie est un fromage l.hakuna matata ! InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Ice Story Jeu 19 Juin - 235 AHH.. Bravoee !! ! j'adorre ses trĂšs bon.. continue Miss Pamplemousse RoseMoi, une tĂȘte connue ?Messages 503Âge 33Localisation France 77Centres d'intĂ©rĂȘt oulĂ Ă , beaucoup de choses ^^‱ Profil Express ‱Playlist Bittersweet SymphonyHumeur Besoin de rĂ©confortThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Sam 21 Juin - 1515 La suiiiite !!!! j'adore j'adore !!! je trouve que le fait que ce soit un gars le hĂ©ros je trouve ça vraiment top et pis le petit cotĂ© quĂ©bĂ©cois aussi !! vraiment hate de lire la suiite!! * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 1687Âge 28Localisation QuĂ©bec Centres d'intĂ©rĂȘt ce qui m'intĂ©resse... la rĂ©ponse trop claire!‱ Profil Express ‱Playlist Toxic Valentine - All Time LowHumeur PositiveThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Sam 21 Juin - 1654 Oh merci beaucoup <3Puis, Ă  la quatriĂšme pĂ©riode, un miracle arriva et me rĂ©veilla, comme une douche froide mais en beaucoup plus agrĂ©able. J’étais tout dĂ©pitĂ© et certain dĂ©sormais que je ne serais dans aucun de ces cours, le destin Ă©tait contre moi. Je m’en Ă©tait mĂȘme si bien persuadĂ© que je prit quelques secondes avant de dĂ©tecter sa prĂ©sence dans la classe. Mon visage fut d’abord envahi par la surprise, puis par la rĂ©flexion, suivi par la comprĂ©hension et l’incrĂ©dulitĂ© bienheureuse. Enfin, un petit sourire en coin prit place sur mon visage. Elle Ă©tait dans ma classe d’anglais! On avait anglais environ tous les deux jours, ce qui, arrondit, donnait dix jours sur dix-huit oĂč elle serrait Ă  mes cĂŽtĂ©s pendant une heure. C’était dĂ©jĂ  ça. Je passais le cours, crispĂ©, Ă  rĂ©sister Ă  l’envie de la regarder. Je devais concentrer toute mon Ă©nergie pour Ă©couter un minimum ce que disait la prof en avant. De toute façon je n’en avais pas vraiment besoin je suis bilingue. Je ne suis pas en cours d’anglais enrichi tout simplement par ce que je n’ai pas envie de travailler plus pour rien. Et puis, comme elle Ă©tait lĂ , je crois avoir fait un excellent choix! Si ça se trouve – mĂȘme si j’espĂšre le contraire – c’est le seul cours que j’ai avec elle et si j’avais choisi enrichi, ce que ma mĂšre m’encourageait fortement Ă  faire, je n’en aurais eu aucun. J’aurais dĂ» me contenter de la croiser de temps en temps dans les couloirs et – si j’avais de la chance – par hasard, dans la ville. Puis, la cloche Ă  sonnĂ©. DĂ©jĂ ? J’avais l’impression que le cours avait Ă  peine commencĂ©. Le reste de la journĂ©e se passa sans Ă©vĂšnements importants, j’étais trop occupĂ© Ă  penser Ă  elle pour prĂȘter attention aux professeurs et Ă  Zineb qui m’observait d’un air agacĂ©. SĂ»rement Ă©tait-elle frustrĂ©e que je sois trop perdu dans mes pensĂ©es pour rĂ©pondre plus que par des petits signes de tĂȘtes Ă  ce qu’elle me disait, ce qui ne devenait pas l’aider Ă  entretenir plus qu’un semblant de conversation plus semblable Ă  un monologue. On va sauter des jours de dĂ©tails inutiles pour passer Ă  un jour classĂ© sous le nom de L’affaire Beautiful ». Ce jour-lĂ , – ça devait ĂȘtre vers la moitiĂ© du mois de septembre – j’avais dĂ©cidĂ© de lui parler. J’avais dĂ©jĂ  essayĂ© le jour prĂ©cĂ©dent, mais elle n’avait pas levĂ© les yeux de sa feuille alors j’étais reparti Ă  ma place. Mais cette fois, j’étais bien dĂ©cidĂ© Ă  ne pas laisser tomber. Quand je suis passĂ© devant son bureau, elle dessinait. J’y ai trouvĂ© un excellent prĂ©texte pour lui adresser la Beautiful, ValentaĂŻne avec l’accent anglais, attention.Elle dĂ©teste vraiment qu’on l’appelle ValentaĂŻne. En guise de rĂ©ponse, j’eu droit Ă  une espĂšce de grimace exaspĂ©rĂ©e assez cocasse, je l’admets, qui exprimait clairement que, franchement, je l’énerve trop ». J’ai rejoint ma place. Et merde, je lui tape vraiment sur les nerfs, pour qu’elle me fasse une face comme ça. Non? Et puis, elle Ă©vite sans arrĂȘt mon regard, elle me dĂ©teste, j’en suis certain. Zineb devait avoir raison. Je n’ai aucune chance. Mais je ne peux pas dĂ©crocher. Je ne peux pas l’oublier. Il est impossible de la sortir de mes pensĂ©es. DĂšs que je la quitte des yeux, elle me manque dĂ©jĂ . Je suis vraiment amoureux. Trop. Et le pire, c’est que je sais pertinemment que j’ai une chance sur un milliard que ce sentiment qui me torture un peu plus chaque jour soit partagĂ©. Et je crois bien que c’est ça le pire, pire encore que l’obsession elle-mĂȘme. Chaque jour je faisait tout ce qui Ă©tait possible pour la croiser. Je faisais des dĂ©tours, je marchais plus vite ou plus lentement, j’allais boire de l’eau ou aux toilettes. Tous les prĂ©textes Ă©taient bons pour augmenter mes chances de la croiser, pour sentir sa prĂ©sence, sa chaleur, Ă  quelques centimĂštres de moi, pendant quelques secondes. Parfois mĂȘme l’effleurer dans les couloirs, quand il y a beaucoup de monde. J’aime entendre le son de sa voix aussi. Souvent, elle rit, parle fort, chante avec ses amies. Elle gambade dans les couloirs en chantant le magicien d’Oz. Elle est aussi d’une maladresse rare, mais je trouve ça plutĂŽt attachant. Mais, entre nous, mon jugement est teintĂ© par l’amour et n’est pas trĂšs impartial, donc ne vous fiez pas Ă  ce que je dit. De toute façon, je ne devrais pas parler de ça. Je ferrais mieux d’oublier. Non, je ne peux pas. Je devrais demander conseil. Mais il faudrait que je sois certain que cette personne n’ira pas raconter ça Ă  Valentine ou Ă  Zineb. Ou Ă  tout le monde, tant qu’à faire. C’est compliquĂ© tout ça. Je me rends compte que c’est la premiĂšre fois que je suis vraiment amoureux. Pourtant, quand on voit tous ces couples dans la rue, on pourrait croire que c’est facile, que l’amour est toujours, comme par hasard, rĂ©ciproque. Erreur, grave erreur. Peu de temps aprĂšs l’affaire beautiful, j’ai eu un court dialogue avec Candice, aprĂšs mon cours de boxe - T’es certain que ça va Alex? Tu as l’air un peu
 triste?- Moi, triste? N’importe quoi, les champions de boxes ne sont jamais Sauf quand ils sont amoureux
- Qu’est-ce que vous avez toutes Ă  prĂ©tendre que je suis amoureux?Elle n’a pas rĂ©pondu, mais son petit sourire amusĂ© montrait clairement qu’elle n’y croyais pas une seule seconde. Il serait peut-ĂȘtre temps que j’apprenne Ă  mentir, on dirait. Sinon, je risque de me dĂ©voiler si on me pose une question du genre Tu aimes Valentine? ». Bon, au moins, j’ai un avantage, je ne rougis pas. Je n’ai jamais rougi de ma vie et ça ne changera pas. Je ne sais pas vraiment pourquoi. Il y a des gens qui ne sont pas chatouilleux, moi je ne deviens pas rouge quand je suis gĂȘnĂ©. Mais je me trahis trĂšs rapidement par divers autres moyens. Que j’ouvre la bouche pour nier ou non, je n’ai jamais su comment dissimuler des choses aux gens autrement que par le rire. Malheureusement, avec Valentine, ça n’avait pas marchĂ©. Zineb et sĂ»rement beaucoup d’autres se sont bien vites rendus compte que je l’agaçait trop pour que ce soit naturel. Surtout que vu comment je la sortais hors de ses gonts, elle d’habitude assez calme et discrĂšte en classe. Une fois, j’ai bien cru qu’elle allait me sauter Ă  la gorge. Elle m’avait poussĂ© et fait tomber son agenda en mĂȘme temps et, dans mon mouvement de recul, j’avais marchĂ© sur son agenda. Je m’étais excusĂ© et l’avais ramassĂ©, mais elle Ă©tait dans une colĂšre incroyable! Et puis, en gĂ©nĂ©ral, elle me frappait – pas trĂšs fort – ou elle me lançait des objets quand j’étais trop loin. Elle m’a mĂȘme arrosĂ© avec l’eau d’une Ă©ponge une fois, mais je crois – et j’espĂšre – que c’était accidentel. Elle m’a aussi lancĂ© le dessin qu’elle Ă©tait en train de faire en art, aprĂšs l’avoir chiffonnĂ©, tellement elle en avait assez. J’étais assez amusĂ© parce qu’elle l’avait fait sans rĂ©flĂ©chir, puis elle s’est rendu compte que c’était son dessin et elle a dĂ» aller le re-chercher. Et puis, surtout, on lisait une colĂšre noire dans ses yeux dans ces moments-lĂ ! Je crois qu’elle n’apprĂ©ciait pas trop qu’on l’appelle ma chouette ». J’exagĂ©rais peut-ĂȘtre un peu, je l’énervais beaucoup trop. Mais ses rĂ©actions Ă©taient si amusantes! Et c’était le seul moyen que j’avais de communiquer avec elle
 Il n’était pas question que j’y renonce. Je ne pouvais pas savoir que ça jouerait Ă  ce point contre moi et que je l’énerverais vraiment trop. Enfin, qui sait, peut-ĂȘtre qu’elle essayait elle aussi de dissimuler ses rĂ©els sentiments et que sa façon Ă  elle de mentir c’est de dĂ©nigrer? Il faut quand mĂȘme pas trop compter sur cette hypothĂšse. Peut-ĂȘtre aussi que ses sentiments ont changĂ© depuis, mais j’en doute aussi. MalgrĂ© tout, mĂȘme si je sais que ça n’arrangerait pas les choses, je voudrais aller lui parler, sans l’agacer cette fois. Lui parler normalement, la faire rire peut-ĂȘtre, en apprendre plus sur elle. Mais je ne peux pas. Je n’ai pas encore trouvĂ© le courage pour affronter Ă  nouveau ses yeux agacĂ©s. Sans compter le chantage de Zineb. Pourquoi tout doit-il ĂȘtre si compliquĂ©? Quoi qu’il en soit, il ne s’est pas passĂ© grand chose pendant cette pĂ©riode. Je l’observai Ă  la dĂ©robĂ©e, je dĂ©connais avec mes amis. J’avais repris mes bonnes vieilles habitudes de prendre de la drogue. Ça me dĂ©tendait incroyablement. Tout semblait, pendant quelques heures, bien plus surmontable. Ce n’était pas grave, tout irait mieux bientĂŽt. Le retour sur terre Ă©tait d’autant plus brutal que l’espoir Ă©tait grand
 Mais que voulez-vous, pendant quelque temps, j’étais incroyablement soulagĂ© de toutes ces emmerdes quotidiennes. J’ai passĂ© tout mon mois de septembre auprĂšs de mes amis – qui finalement ne me tapent pas tant que ça sur les nerfs, je l’avoue, j’ai exagĂ©rĂ©, ils sont super sympas en fait –, Ă  Ă©viter Zineb, qui n’avait toujours pas comprit que notre marchĂ© n’incluait pas que nous soyons amis. En fait, je n’avais rien contre elle avant, mais depuis qu’elle s’était montrĂ©e si cruelle et manipulatrice, elle me rĂ©vulsait. Je ne pouvais pas supporter de simplement la voir, je la trouvais si froide et inhumaine! Tellement hypocrite aussi, Ă  rire et Ă  faire comme si elle Ă©tait une brune stupide et superficielle. Les gens intelligents qui font semblants d’ĂȘtre idiots m’agacent. Et puis, de toute façon, on ne se lie jamais d’amitiĂ© avec son bourreau, elle devrait le savoir, non? À part ça, j’observais Valentine Ă  la dĂ©robĂ©e et le reste du temps j’étais un peu inconsistant. Oui, je riais avec mes amis, je continuais de vivre, mais dans le fond je m’en fichai un peu. Ma famille essayait bien de me motiver – moi aussi d’ailleurs, mais tout ce qui n’avait aucun lien avec elle n’avait pas grand intĂ©rĂȘt
 Je n’allais plus vraiment sur MSN, car mes amis commençaient Ă  se douter de quelque chose. Ce n’était pas normal que moi, qui disait Ă  qui voulait l’entendre que MSN Ă©tait inutile et stupide, je commence Ă  me connecter rĂ©guliĂšrement. Du coup, je me mettais hors ligne et je regardais simplement si elle Ă©tait lĂ  et je fixais son pseudo en me disant que si je le voulais je pouvais me connecter et lui dire salut. Ça me rassurait un peu. De temps Ă  autre je me connectai juste pour vĂ©rifier si elle me dirait salut. Elle le faisait, mais de moins en moins et de moins en moins rapidement. Bon, c’est sĂ»r que ça devait la refroidir un peu que je ne rĂ©ponde pas et que je me dĂ©connecte peu aprĂšs. Mais qu’est-ce que j’y pouvais? La menace de Zineb Ă©tait encore fraĂźche dans ma mĂ©moire et je n’avais pas encore ramassĂ© le courage nĂ©cessaire pour contourner son interdit. De toute façon, elle devait s’en foutre totalement que je rĂ©ponde ou pas. Ainsi s’est passĂ© mon mois de Septembre. Pas terrible, non? Il n’y avait plus qu’à espĂ©rer qu’Octobre serait mieux
 Pamplemousse RoseMoi, une tĂȘte connue ?Messages 503Âge 33Localisation France 77Centres d'intĂ©rĂȘt oulĂ Ă , beaucoup de choses ^^‱ Profil Express ‱Playlist Bittersweet SymphonyHumeur Besoin de rĂ©confortThe Nawak Box Sujet Re Ice Story Sam 21 Juin - 1814 alala ! Ă  peine fini, j'ai dĂ©jĂ  envie de la suite !!c'est dingue le talent que tu as Ă  Ă©crire, on dirait un roman de pro !!! Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Ice Story Ice Story Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum‱ Lady Marshmallow ‱ The Hapiness Factory* . Graines d'Artistes Toi & ta plumeSauter vers Leministre de la DĂ©fense nationale et des Anciens combattants, Moumina ChĂ©riff Sy, en visite, hier jeudi Ă  Fada N’Gourma, pour manifester la compassion et la solidaritĂ© du gouvernement aux victimes de l’attaque perpĂ©trĂ©e contre un convoi de de la mine d’or de SEMAFO SA, a appelĂ© Ă  un sursaut patriotique face Ă  l’hydre terroriste. []
FaceĂ  l’urgence climatique, un sursaut qui ne vient pas. Alors que s’ouvre la COP25, le constat est sans appel: les efforts des États pour sortir des Ă©nergies fossiles sont trĂšs
Traductionsen contexte de "sursaut d'énergie" en français-italien avec Reverso Context : Les patients en stade terminal ont un sursaut d'énergie.
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